Sabrina

Je suis en guêpière, bas et talons pour lui signifier que je suis son objet sexuel ce soir. Je lui avais parlé de mon fantasme de recevoir et d'avaler une grosse éjaculation. Il m'avait promis de s'abstenir sexuellement pendant plusieurs jours, afin de me faire plaisir et de m'offrir "la plus grosse éjaculation de ma vie", m'a t-il dit. Le goût du sperme m'indiffère, et sans désir sexuel, je n'en veux pas, ça me repousse même. Mais quand je suis excitée, j'en ai envie un maximum ! Ces batteries sont chargés à bloc ! Les lumières sont tamisées, un odeur d’encens embauche la pièce. Nous sommes sur la canapé et nous regardons des clips de fellations sur son grand écran plat en sirotant nos apéritifs.

Il bloque sur une des vidéos qui l'excite plus que les autres. Une femme à genou, en porte-jarretelles et aux lèvres rouge vif suce son compagnon sur son fauteuil. Elle est particulièrement ambitieuse et elle ne le suce qu'en gorge profonde. Ça donne un effet visuel impressionnant, comme si sa bouche était un vagin. Lui, il a un sexe énorme et charnu. Les plissements épais de sa peau sur les lèvres de la courageuse laisse imaginer le plaisir sensuel qu'elle doit ressentir à s'enfoncer si profondément ce pénis. On voit sa gorge qui se dilate, le plissement de ces yeux sous l'excitation et un petit sourire qui se dessine de temps en temps au coin de ses lèvres. A chaque aller-retour, elle s'extrait ce sexe énorme jusqu'au gland qui épouse alors à merveille ses lèvres, puis elle se le renfonce aussitôt sur toute sa longueur, parfois dans de violents mouvements. La scène dure quelques minutes et Monsieur commence à gémir.

Mon partenaire a la voix qui tremble d'excitation. Il veut que je lui fasse la même chose, là, tout de suite. "Fais-moi ça ! Je veux que tu me fasses ça, j'en ai trop envie, cette scène me tue !". Ça tombe bien, mon ventre tremble aussi de désir, je veux aussi lui faire la même chose. Moi aussi, je crève d'envie d'être à la place de cette nana ! Nous n'irons pas plus loin dans le visionnage de cette vidéo. Nous laissons le clip continuer et je m'exécute non sans une grande appréhension : vais-je y arriver ?


Je me lève et m'agenouille entre ses cuisses, sur un petit coussin moelleux. Je tire son caleçon et son sexe énorme et dur de désir se tend vers moi. Je le saisis de ma main et je dépose mes lèvres rouges sur son gland. Je le suce doucement, salive et le masturbe. Petit à petit, j'augmente la cadence et la profondeur jusqu'à ce que son gland tape ma gorge. J'ai mon spray anesthésiant alors je l'utilise, je veux pouvoir tout faire en gorge profonde. Je sais que ce n'est pas extraordinaire, que je n'aurais pas d'orgasme, mais j'en rêve ! Je me renfonce son sexe jusqu'il coince puis je force délicatement jusqu'à ce que son gland prenne le dessus sur ma gorge. Il est doux, moelleux mais il me contraint à me dilater. Ma gorge s'ouvre lentement et il s'engouffre dans une sensation mêlée de délicatesse, de dureté et de crainte. Un haut le cœur me prend, mais il passe aussitôt. Je dois me détendre. Tous les centimètres manquants commencent à s’engouffrer en moi, petit à petit.

La peau de son sexe se plisse à sa base sous la pression de mes lèvres, comme dans la vidéo. Ça avait l'air tellement bon à la voir faire, et c'est tellement excitant de le faire ! Ça y est, il est entièrement en moi, je ne peux pas aller plus loin. C'est à la fois doux et dur, je me sens soumise, coincée, enfournée. Je ressors puis recommence, jusqu'à dilater ma gorge suffisamment pour pouvoir lui faire l'amour sur toute la longueur. Je suis détendue, on va pouvoir commencer les choses sérieuses.

Ça y est, ma bouche est mon sexe, ce soir. Je fais des aller-retour sur la bonne vingtaine de centimètres de son pénis, à un bon rythme. J’entremêle mes aller-retour de moments de respiration. Il me regarde les yeux écarquillés "Vas-y, continue, enfonce-toi tout !". Je lui obéis et je continue à bon rythme : son gland glisse entre mes lèvres puis m'enfile tout au fond de ma gorge. La longueur restante me dilate comme si j'étais faite de caoutchouc.

De temps à temps, je me l'enfonce violemment, comme si j'étais une bête affamée, alternant les rythmes lents et rapides. "Wooow, tu me tues !" me confit t-il... Il commence à gémir "Accélère, ça vient, je vais finir de te remplir, tu vas l'avoir, ta grosse éjaculation !". J'accélère, enfin, j'essaie d'accélérer car ça fait 7 bonnes minutes maintenant que je suis en épreuve d'endurance à m'enfoncer sur toute sa longueur son gros sexe. Mais que c'est bon et excitant, cette situation !

Il commence à crier ! Je sors son sexe et je le sers à la base pour couper l'éjaculation. Quelques gouttes de sperme coulent de son gland, que je suce et avale. Je le laisse se reposer quelques secondes... Il respire, moi aussi...

Et c'est repartie ! Je le reprends dans ma bouche et cette fois, je finis le travail ! Je reprends mon rythme sauvage. Il me saisit la tête pour m'aider à prendre son rythme final. Ma gorge est en feu. Il gémit, il crie. Il m'enfonce la tête avec violence, même les derniers millimètres de peau, à la base de son sexe, s'engouffre dans ma bouche sans aucune résistance. Je ne peux pas faire mieux, je le laisse faire, je suis son trou béant. Je sens ces spasmes orgasmiques entre mes lèvres. Il me donne de derniers grands a-coups, me faisant valdinguer la tête tout le long de son sexe comme si ma bouche n'était qu'un vulgaire fourreau trop huilé. A chaque aller-retour, je sens ces giclées de sperme qui explosent dans ma bouche, puis continuent de se vider au fond de ma gorge. Il me tient alors la tête toute enfoncée sur son sexe, laissant probablement les dernières salves de sperme couler au fond de moi, dans un cri de victoire.

Il me laisse me retirer, non sans reprendre ma respiration. J'ai été en apnée sur les derniers aller-retour, mais ça en valait la peine ! Je le masturbe pour faire sortir les dernières gouttes que je suce et que j'avale. Je me rassois avec lui, il me fait un câlin et nous reprenons nos apéritifs en souriant. Je me sens gênée, encore plus nue que je ne suis déjà, déshabillée sous ma lingerie, comme si je n'avais jamais été aussi nue. J'ai fait ça à quelqu'un, et ce quelqu'un m'a vu le lui faire... Un sentiment mélangé de honte et de fierté m'envahit... Ça passera... Nous nous reposons en regardant un film de science-fiction. Le temps de recharger les batteries. Puis nous recommençons à regarder des clips de fellations quelques dizaines de minutes plus tard en attendant que le désir revienne et nous recommençons la même pratique. Il en avait tellement envie, et moi aussi, c'était mon fantasme !

Dans la soirée, je lui ferais des fellations tout en gorge profonde, 4 fois, en changeant de façon et en alternant éjaculation au fond de ma gorge et éjaculation dans ma bouche. Avant de nous endormir, fatigués, mais satisfaits.

Je n'aurais pas joui ce soir, mais j'aurais eu ce que je voulais : c'était ma fellation à moi, complète, réussie, faite à ma façon, selon mon désir, celle que je voulais réussir un jour ! Ce fut une satisfaction étrange, sans grand plaisir physique, mais avec beaucoup de plaisir psychique supporté par une grande excitation. Je suis apaisée. C'était éprouvant mais peut-être qu'avec l'habitude, ça deviendra ma façon habituelle de le faire ?! Il me fera jouir le lendemain matin en me prenant sur la table, mais seulement après une dernière fellation du même genre qu'il m'ordonnera de lui faire, tout impatient et excité, en me posant directement son sexe sur les lèvres, au saut du lit... "Vas-y, refais-le moi une dernière fois, je suis trop excité, tu m'as tué hier soir avec ça !"


Vu comme ça lui a plu, je suis sûre qu'il va me demander de lui refaire la même chose assez souvent... Tant mieux, ça m'excite !

Ceci est mon fantasme, et l'envie que j'aimerais assouvir !